J'ai beaucoup aimé
Titre : Laurence
Auteur : Didier DECOIN
Editeur : Seuil
Parution : 1969
Pages : 176
Présentation de l'éditeur :
Dans la cour d'un hôpital, le regard d'un jeune homme croise celui d'une
petite fille de treize ans. Et plus rien ne compte : ni la leucémie de
la petite fille, ni les doutes du médecin incapable de la sauver, ni le
cri de la mère - un cri qui se résume par une fuite.
Il ne reste en définitive que cela : l'amour immense d'un homme pour une petite fille qui saute à la corde entre la vie et la mort, entre l'innocence et l'impureté.
Un amour aussi furieux que le typhon qui s'abat sur cette ville du sud des Etats-Unis où tout a commencé et où tout s'achèvera dans un souffle d'enfant.
Didier Decoin confirme ici un talent fait de rigueur et de pouvoir d'envoûtement.
Il ne reste en définitive que cela : l'amour immense d'un homme pour une petite fille qui saute à la corde entre la vie et la mort, entre l'innocence et l'impureté.
Un amour aussi furieux que le typhon qui s'abat sur cette ville du sud des Etats-Unis où tout a commencé et où tout s'achèvera dans un souffle d'enfant.
Didier Decoin confirme ici un talent fait de rigueur et de pouvoir d'envoûtement.
Avis :
Laurence, treize ans, est leucémique et n'a plus que quelques mois à vivre. Auprès d'elle, trois accompagnants : sa mère, son médecin et un jeune homme croisé par hasard à l'hôpital. Entre l'adolescente et le jeune homme se tisse un lien tendre, prémices d'un amour de grandes personnes, encouragé par la mère et le médecin, car, aux portes de la mort, qu'importent les convenances : seul compte le merveilleux cadeau de l'ébauche d'un amour, tout en retenue et délicatesse.
Cette courte histoire nous place avec tendresse et pudeur face à l'insupportable réalité de la mort d'un enfant et s'attache à ce qui est finalement l'absolu essentiel de l'existence humaine : l'amour. L'exercice était sans doute délicat, Didier Decoin le réussit avec brio, sans larmoiement ni sentimentalisme excessif, dans un parfait dosage d'émotions maîtrisées. (4/5)
Cette courte histoire nous place avec tendresse et pudeur face à l'insupportable réalité de la mort d'un enfant et s'attache à ce qui est finalement l'absolu essentiel de l'existence humaine : l'amour. L'exercice était sans doute délicat, Didier Decoin le réussit avec brio, sans larmoiement ni sentimentalisme excessif, dans un parfait dosage d'émotions maîtrisées. (4/5)
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