J'ai beaucoup aimé
Titre : Abraham de Brooklyn
Auteur : Didier DECOIN
Editeur : Seuil
Parution : 1971
Pages : 230
Présentation de l'éditeur :
Simon est ouvrier sur le chantier du pont de Brooklyn. Le soir, il
traîne son ennui le long des docks. Il y rencontre Kate, évadée du
pénitencier. À 20 ans, cette jeune fille étrange et mutique ressemble à
une gamine. Simon tombe amoureux, d’un amour chaste, mystique ; il la
croit pure, veut la sauver. Il quitte Brooklyn, cet enfer de poutrelles
et de boue, pour l’emmener dans l’Ouest.
Didier Decoin, né en 1945, est journaliste et scénariste (pour Marcel Carné et Henri Verneuil). Il est l’auteur d’une vingtaine de romans dont John l’enfer, prix Goncourt 1977, et La Femme de chambre du Titanic, disponibles en Points.
« Un livre net, sûr, fort, beau. Un vrai roman. » Elle.
Prix des Libraires 1972.
Didier Decoin, né en 1945, est journaliste et scénariste (pour Marcel Carné et Henri Verneuil). Il est l’auteur d’une vingtaine de romans dont John l’enfer, prix Goncourt 1977, et La Femme de chambre du Titanic, disponibles en Points.
« Un livre net, sûr, fort, beau. Un vrai roman. » Elle.
Prix des Libraires 1972.
Avis :
Un immigrant italien travaillant à la construction du Pont de Brooklyn à New York recueille une jeune fugitive échappée d'un ponton pénitentiaire. Finissant par la considérer comme sa fille, il décide de la sauver et fuit à son tour vers l'Ouest avec sa femme et la jeune fille. Exode aux références bibliques où seuls comptent l'amour et le pardon, peu importe le crime commis qu'on ne connaîtra pas. Mais la rédemption sera-t-elle possible?
C'est un étrange roman, aux nombreuses qualités puisque Didier Decoin écrit merveilleusement bien. J'y ai découvert plusieurs sujets intéressants : la maladie des caissons qui affecte les ouvriers constructeurs de piles de ponts, l'existence des pontons pénitentiaires à la fin du XIXème siècle, et bien sûr, l'atmosphère de New York et de Brooklyn à l'époque. Toutefois, la résonance biblique du roman est déroutante et une partie de la symbolique m'a sans doute échappée car j'ai refermé le livre sur une note de perplexité. Il s'agit pour moi d'un très bon livre, mais pas d'un coup de coeur. (4/5)
C'est un étrange roman, aux nombreuses qualités puisque Didier Decoin écrit merveilleusement bien. J'y ai découvert plusieurs sujets intéressants : la maladie des caissons qui affecte les ouvriers constructeurs de piles de ponts, l'existence des pontons pénitentiaires à la fin du XIXème siècle, et bien sûr, l'atmosphère de New York et de Brooklyn à l'époque. Toutefois, la résonance biblique du roman est déroutante et une partie de la symbolique m'a sans doute échappée car j'ai refermé le livre sur une note de perplexité. Il s'agit pour moi d'un très bon livre, mais pas d'un coup de coeur. (4/5)
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