mardi 22 juin 2021

[Lévy Scheimann, Véronique] Dessiner un ailleurs

 


 


 

J'ai beaucoup aimé

 

Titre : Dessiner un ailleurs

Auteur : Véronique Lévy Scheimann

Parution : 2021 (Les poètes français)

Pages : 62

 

 

 

 

 

 

Présentation de l'éditeur :  

"Dessiner un ailleurs", royaume rêvé ou si proche de nous qu'il est peut-être accessible?
Dans ce recueil illustré avec délicatesse par la poétesse, chacun peut trouver ses fantômes de la nuit, côtoyer et partager peines et maux avec la reine des neiges.
Le ciel bariolé, des fleurs pimpantes donnent une saveur à un quotidien resserré.
Beauté et espoir sont à découvrir au fond d'une clairière, juste en s'immergeant dans ces pages poétiques. Laissons la rêverie se perpétuer !

 

Le mot de l'auteur :

La poésie est arrivée tardivement ...
Au départ j'ai un parcours "classique", carré et chiffré avec une formation en économie et des expériences dans me marketing. Puis vient le temps des start ups où je participe au lancement d’un site de comparaison de prix pour des médicaments. La communication prend le relais. J’anime des sites, rédige des articles et j’organise des rencontres et événements.
Je participe à l’aventure du blog Versaillais Instant V où je rencontre des personnalités, photographie des instants brefs…, mets en relation des auteurs, musiciens… En 2018 et 2019, je préside l’association Ecrire à Versailles et organise des salons du livre.

Avec un fort appétit de créativité, je me lance dans le chant, le violoncelle (je continue les cours), le théâtre, cinéma (actrice dans un film), l’écriture (quatre livres) et... la peinture. Je partage mes ressentis, émotions et authenticité dans la poésie qui m’habite, nous habitent. 
 

 

 

Avis :

Avec son cinquième recueil de poésie, toujours illustré de ses jolies peintures colorées, Véronique Lévy Scheimann poursuit sa promenade aérienne entre instants fugitifs, impressions prégnantes et délicats ressentis. Au travers des mots et de leur éclat fragile, transparaissent les peines d’une actualité quotidienne parfois blessante, mais toujours se tissent les fils arachnéens de la beauté et de l’espoir, scintillant au détour d’une saison, de la grâce d’une rose ou de la vibration d’une émotion. Un séduisant instant de rêverie pure, entre mots et couleurs, d’une exquise délicatesse. (4/5)

 

 

Citations : 

La balançoire au fond du jardin
Avant, arrière
Les couettes au vent
Monter au ciel
Toucher les nuages
Probablement un ciré jaune
Des petites bottes rouges
Je ris, crie, chante
Forcément insouciante
Je ne veux pas m’arrêter
D’autres attendent leur tour
Difficile de quitter la balançoire de mon enfance

  

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