lundi 20 juillet 2020

[Sandrel, Julien] Les étincelles






Je n'ai pas aimé

 

Titre : Les étincelles

Auteur : Julien SANDREL

Parution : 2020 (Calmann Lévy)

Pages : 324

 

 

 

 

 

 

 

Présentation de l'éditeur :   

La jeune Phoenix, 23 ans, a le goût de la provocation, des rêves bien enfouis, et une faille terrible : il y a trois ans, son père, un scientifique, s’est tué dans un accident de voiture en allant rejoindre  une autre femme que sa mère.
Depuis, Phoenix le déteste. À cause de lui, elle a abandonné études et passions et enchaîne les petits boulots. Mais un jour, dans un carton qui dort à la cave, elle découvre la preuve que son père se sentait en danger. Ainsi qu’un appel à l’aide énigmatique, écrit dans une langue étrangère.

Et si elle s’était trompée ? Et si… la mort de son père n’avait pas été un accident ?
Aidée de son jeune frère, un surdoué à l’humour bien ancré, Phoenix se lance à la recherche de la vérité. Mais que pourront-ils, tout seuls, face à un mensonge qui empoisonne le monde ?

 

 

Le mot de l'éditeur sur l'auteur :

Julien Sandrel a 39 ans. La Chambre des Merveilles (Prix Méditerranée des lycéens 2019, Prix 2019 des lecteurs U), son premier roman, a connu un succès phénoménal en librairie. Vendu dans vingt-cinq pays, il est en cours d’adaptation au cinéma.

 

 

Avis :

Cela fait trois ans que son père est mort dans un accident de voiture en Colombie où, selon les apparences, il rejoignait une maîtresse, lorsque Phoenix découvre qu’il se sentait menacé : scientifique convaincu de la dangerosité sanitaire des pesticides produits par une puissante multinationale, il n’aurait pas été le premier lanceur d’alerte à se voir imposer le silence…

Je pensais me plonger dans un thriller économique et écologique. Je me suis retrouvée dans un roman feel good, dont le sujet à la mode et le suspense relatif ne manqueront sans doute pas de séduire les adeptes du genre. Malheureusement pour moi, preuve est faite une fois de plus que je n’en fais pas partie : l’intrigue improbable et superficielle, la romance niaise à l’eau de rose, les personnages caricaturaux et sans épaisseur, le tout conjugué à un style désespérément plat, ont eu raison de mon intérêt pour le sujet traité et m’ont reléguée dans un ennui teinté d’étonnement quant à la si grande diversité des goûts littéraires ! (1/5)

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