J'ai aimé
Auteur : Anita DIAMANT
Titre original : Good Harbor
Parution originale : 2002
Editeur : Scribner
Pas de traduction française
Pages : 256
Présentation de l'éditeur :
Anita Diamant, whose
rich portrayal of the biblical world of women illuminated her acclaimed
international bestseller The Red Tent, now crafts a moving novel of
contemporary female friendship.
Good Harbor is the long stretch of
Cape Ann beach where two women friends walk and talk, sharing their
personal histories and learning life's lessons from each other. Kathleen
Levine, a longtime resident of Gloucester, Massachusetts, is maternal
and steady, a devoted children's librarian, a convert to Judaism, and
mother to two grown sons. When her serene life is thrown into turmoil by
a diagnosis of breast cancer at fifty-nine, painful past secrets emerge
and she desperately needs a friend. Forty-two-year-old Joyce Tabachnik
is a sharp-witted freelance writer who is also at a fragile point in her
life. She's come to Gloucester to follow her literary aspirations, but
realizes that her husband and young daughter are becoming increasingly
distant. Together, Kathleen and Joyce forge a once-in-a-lifetime bond
and help each other to confront scars left by old emotional wounds.
Avis :
A Gloucester, sur la côte du Massachusetts, au Nord-Est des Etats-Unis,
deux femmes se lient d'amitié : Kathleen, la soixantaine,
bibliothécaire pour enfants, vient d'apprendre son cancer du sein,
nouvelle qui la terrifie et fait ressurgir les fantômes de proches
disparus. Joyce, la quarantaine, vient d'acquérir une résidence
secondaire dans la ville, où elle se réfugie pour tenter d'écrire un
roman et fuir un foyer désormais souvent déserté par un mari de plus en
plus accaparé par son travail et leur fille en plein crise
d'adolescence.
L'écriture fluide et pleine de sensibilité rend la
lecture plutôt plaisante. Toutefois, l'histoire, trop "ordinaire" à mon
goût, n'a pas réussi à me captiver et ne me laissera pas de souvenir
notable. En somme, le livre relate, sans profondeur particulière, le mal
être de deux femmes banales dans une vie banale de nos jours aux
Etats-Unis. Anita Diamant
a choisi un environnement qu'elle connaît bien : elle habite la même
région, pour laquelle elle partage ici son attachement, et elle fait
elle aussi partie d'une communauté juive qui semble, d'après l'ensemble
de ses publications, beaucoup compter pour elle. Au-delà de ses deux
caractéristiques, rien de vraiment remarquable et donc un bilan en
demi-teinte pour une lecture juste correcte qui sera vite oubliée. (3/5)
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